Bienvenue sur le site de Plaisance Fluviale - Simonszand - Convoyage Trebes - Castets-en-Dorthe 2013 - 2014

Astrolabe ex. Blizzard

Merci à Louis MIQUEL pour cette photo

CONVOYAGE HOMPS - CASTETS-EN-DORTHE

La reprise de navigation du canal du Midi a lieu le 26 décembre 2013. Le canal de Garonne est en chômage le 6 janvier 2014. La péniche, ASTROLABE, doit quitter Homps pour rejoindre le port de Castets-en-Dorthe. PC Navigo a tracé la route. Suivez-nous ! A lire de bas en haut.

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A lire

A lire de bas en haut.

Bruno et Valérie peuvent lever leurs verres. Tout est prêt pour réaliser leur nouveau rêve. Bravo à Eux.
		Vue de l'intérieur, c'est vraiment super, et en plus on aurait été à l'abri. Mais pourquoi, les ponts sont si bas.
La marquise est remontée, l'équipage du Marajo est venu prêter main forte. Une nouvelle pièce qui change l'allure de la péniche. Elle est vraiment belle.
		Voilà, l'Astrolabe est à quai. Le timing a été respecté. Nous avons 1/4 d'heure de retard, sur l'horaire. Nous sommes tous heureux. L'Astrolabe va pouvoir commencer sa nouvelle vie.
Voilà, nous sommes dans le bief des Gares. Le canal peut fermer, pour chômage. Nous sommes presque arrivés. Nous sommes le 5 janvier 2014.
		Voilà, la dernière écluse est lancée, doucement on s'approche du but. Quel plaisir la pluie s'arrête, on peut retirer les cirés.
Le dernier bief, Mazerac, l'Astrolabe navigue sur son aire pour aller tourner la perche qui ouvrira l'écluse.
		Voilà, le pilote passe la main et la pluie redouble. L'Astrolabe est au ralenti pour profiter des dernières minutes de navigation.
La dernière journée commence. Tout le monde est sur le pont à l'heure de l'ouverture de l'écluse.
		Au loin, La Réole. Valérie est ravie d'apercevoir son collège ! Lundi les vacances sont finies !
Des amis du port de Castets-en-Dorthe sont venus faire une partie de la fin du parcours. Nous franchissons notre centième écluse, levons nos verres avant que l'eau du ciel noie le champagne.
		Nous arrivons à Meihlan-sur-Garonne et là la météo nous rattrape et ne nous lâche plus. Des seaux d'eau tombent du ciel même les cirés ont du mal à nous protéger et le froid s'emmêle.
Jacky nous avait prévenu ! Attention à vos têtes sous le pont S.N.C.F. Bernès
		Au sortie d'écluse, le tirant d'eau garanti, n'est sûrement plus de 1.60 mètres. Le plafond du canal a dû remonter. Attention aux responsabilités Monsieur V.N.F. Regardez l'animation en un clic.
Nous franchissons notre dernier pont-canal, celui de L'Avance. Il faudra qu'on fasse les comptes. Nous en avons passé un certain nombre.
		Ce n'est pas le jour ! Ici aussi, chez Émeraude Navigation, le D.G. Jean Pierre et Sylvie sont absents. A la trêve des confiseurs ?
Nous passons un coup de téléphone à Raymond Pradel, pour le féliciter pour la propreté de son bateau. Pas une feuille de platane à bord.
		Tiens, le bateau "Anna" est stationné à Caumont. Il avait séjourné à Briare, un hiver, mais personne à bord, pour leur dire : Bonjour.
Nous laissons sur notre droite le pont suspendu du Mas d'Agenais, pour prendre l'écluse du même nom. Ici aussi, la base Le Boat, prend ses aises, en stationnant des bateaux dans le chenal, malgré les remarques des éclusiers. Ont-ils des chefs ?
		La Garonne n'est jamais très loin du canal, effectivement son ancien nom est : Canal latéral à la Garonne, maintenant Canal de Garonne.
Surprise, surprise ! Ce matin grand soleil et pourtant la météo n'est pas optimiste. Mais profitons !
		A l'écluse 42 de La Gaule, le restaurant, La Chope et le Pichet pourrait nous servir, mais pas à neuf heures trente.
Ici pas d'arrêt, au musée de la halte de Falotte, pourtant cela vaut vraiment une visite.
		La maison éclusière n'a aucun style, mais son nom "Écluse 41 - De Berry", me rappelle de bon souvenir. Regardez en un clic, dessus.
Il est huit heures zéro cinq, lorsque nous quittons le port de Damazan, sur la pointe de l'étrave. Sans oublier de saluer Plancton.
		La soirée se termine sur un air de musique. Merci aux propriétaires de l'Astrolabe pour cet anniversaire sur l'eau. Un grand merci aussi pour tous ceux, nombreux, qui ont laissé des messages. pour animer cette soirée, un clic sur la guitare.
Le quai devant Aquitaine Navigation, une base Nicol's, nous tend ses bollards. Sans la moindre vague nous glissons le long. La fin de la journée est pour bientôt. Nous allons être content de retirer nos cirés. La pire journée... de pluie !
		Devinez à qui appartient ce bateau ! Un indice, sa couleur peut vous aider !
Il nous reste quelques minutes pour franchir les deux écluses qui descendent du pont-canal de la Baïse. Nous sommes dans les temps !
		Encore un pont à trottoir ! A bord de l'Astrolabe, le mot de ralliement : "Alignement". Et presque sans ralentir la péniche se glisse en dessous.
Malgré la pluie qui continue à tomber, nous gardons le sourire. Et nous admirons les oeuvres d'art que V.N.F. a érigées le long du canal de Garonne. Cerise sur le gâteau, les berges vont être préservées.
		En amont de l'écluse de L'Auvignon, nous rencontrons le Mérou. Un bateau parti du port de Castets-en-Dorthe, le 26 décembre 2013 Il semble en panne. Un conseil : Surveillez les batteries, les pompes de cale doivent être alimentées.
Tiens, un martin-pêcheur. Trop occupé à pêcher, il n'a pas remarqué notre passage.
		La halte de Sérignac est bien déserte. Le capitaine est heureux, la publicité pour son port est toujours là. Il l'avait affichée au printemps.
Pour descendre du pont-canal quatre écluses. Sous la pluie, c'est vraiment pas de chance. Mais nous sommes tenu d'avancer, alors rien ne retient l'équipage.
		Nous surplombons la Garonne et des routes et nous imaginons la scène, ce soir, de l'automobiliste racontant qu'il est passé sous une péniche !
Comme celui de Moissace, notre péniche marche en crabe. Seyantes les couleurs.
		Pont-canal d'Agen en vue. Nous allons franchir 580 mètres, sous notre coque 23 arches le supportent.
La base Locaboat d'Agen semble endormie. C'est les vacances pour l'ensemble du personnel. Au plaisir de vous revoir !
		Non, non ce n'est pas pour la photo. Nous rentrons dans Agen, et la pluie redouble.
"Plouf t'es mouillé !!" Annonce ce pont. Depuis ce matin, c'est cirés et bottes ce n'est pas de trop. Nous les quitterons à Damazan à notre escale.
		Au PK 103.5, nous stoppons ! Le supermarché est tout près du canal. Essence pour le groupe et les aliments pour terminer le voyage. Plus un gâteau. Mais chut !
Le pont de Lascarbonnières est annoncé, page 50, sur notre guide comme un des plus bas. L'équipage veille, mais depuis, la parution, le pont a été modifié.
		Nous franchissons notre premier pont-canal de la journée, le pont canal de Séoune, au PK 99.5
Les feux ne sont pas encore allumés, que l'Astrolabe pointe son nez face à l'écluse de Le Noble. Oubliez ce ponton, coincé entre une nationale et la voie ferrée.
		Voilà, la journée se termine. Nous rentrons dans le Lot-et-Garonne. "La patate chaude" est passée à son voisin ! Questionnez l'équipage vous en saurez plus. C'est comme cela l'hiver sur les canaux.
Une grande ligne droite, la voie ferrée à gauche et le reflet des platanes dans l'eau. On pourrait vous la faire recto-verso. Regardez en un clic sur ce miroir.
		Après l'alignement, l'armateur retourne nettoyer sa péniche. Astrolabe glisse doucement sur le pont-canal de la Barguelonne .
Nous ne passons pas à Belleville-sur-Loire sur le canal latéral à la Loire, ni sur le Rhône, à Cruas. Nous sommes à côté de la centrale de Golfech.
		Le port de Valence-d'Agen semble endormi. Il nous semble reconnaître le "Tinos". L'autre Bruno, l'Ardéchois, pourra nous le dire. On se renseigne et on revient vous le dire.
Tiens, une dragueuse ! Il y a de la concurrence... sur le canal !
		Le pont Saint Nicolas de la Grave traverse le canal et continue au-dessus de la Garonne, un monument qui se laisse admirer.
André nous ouvre le pont tournant de Saint Jacques. Il laisse le feu au rouge, mais avec son accord la route est libre. Au plaisir de se revoir... Là, aussi un éclusier, qui aime son métier et le fait partager.
		Et c'est la dernière écluse, "Moissac", qui nous ouvre les portes du Tarn, à notre droite, ou du port en direction de Castets-en-Dorthe.
Il faut se dépêcher. Après le pont-canal du Cacor, l'écluse du même nom. Nous retrouvons Alain déjà en train de démonter la partie électrique des portes d'écluses. Ici, pendant le chômage, on change les ventelles.
		Tiens, tiens, malgré son camouflage, nous reconnaissons Océan-Manor. Ces grands navigateurs organisent un carnaval dans le port de Castelsarrasin. Regardez le calendrier de Fluvial pour vous y rendre.
Nous rentrons dans Castelsarrasin. Le chenal est un peu encombré et nous ne sommes pas encore dans le port !
		L'écluse Saint Martin, nous fait descendre de 2 mètres 54. La pluie s'est arrêtée, malgré les prévisions catastrophiques de Valérie annoncées. Ouf !
André, l'éclusier, un passionné du canal, nous accueille à l'heure prévue ! Il aborde le badge "Canal du canal du midi, avec moi il revit". Dites Monsieur Noisette, ils n'ont pas les enveloppes de dons.
		Pour être à l'écluse de l'Escatalens pour huit heures trente, nous partons à la nuit. Le ciel nous tombe sur la tête, il faut revêtir les cirés.
Et pour saluer cette nouvelle année, n'oubliez pas d'y mettre beaucoup de bulles. Vive 2014 !




Pour lire, un clic
		Nous sommes non loin du PK 45, la distance nous séparant déjà de Toulouse. Allons découvrir la pente d'eau de Montech. Merci à Gilbert, qui m'emmènera chercher de l'essence.
Une nouvelle journée commence, une nouvelle année aussi ! Nous vous présentons tous nos voeux de santé, bonheur et réussite ! Aujourd'hui férié, pas de navigation !
		Nous n'irons pas plus loin. Le ponton, en dessous de l'écluse de Pommiès sera notre amarrage et sera notre réveillon des champs... et notre journée fériée du 1er janvier 2014.
Un stop à Montech pour faire quelques courses. Ce bourg abrite la maison du précédent président de l'A.N.P.E.I. et surtout la pente d'eau en panne depuis 2009. Un clic sur les drapeaux pour en savoir plus.
		Attention aux têtes, le pont de Dieupentale est un des pont le plus bas du canal. Les éditions du Breil nous en donnent les caractéristiques en cliquant dessus.
Nous ralentissons à la halte de Grisolles, située en plein coeur du vignoble de Fronton. Pour en savoir plus, un clic sur le clocher de l'église. Pendant ce temps l'équipage prend des couleurs !
		Dommage qu'une voie ferrée sépare le canal de Castelnau d'Estrétefonds. Un beau village à parcourir à pied, lors d'une escale en été.
Surprise ! Sur le plateau écluse de Castelnau d'Estrétefonds, un sulky vient nous saluer. Une seule place, pas de balade en forêt...
		Un virage serré pour embouquer le pont canal de l'Hers et tout de suite après l'écluse du même nom.
Mais nous ne sommes plus seuls... Nous croisons un bateau, le Lady Sue, sûrement des anglais regagnant Toulouse et sortant du canal de Garonne avant le chômage.
		A l'entrée de chaque écluse, un déversoir aspire le cul du bateau, au moment de l'alignement pour y pénétrer et à la sortie c'est le nez qui est rejeté à droite. Regardez les remous en parallèle de l'écluse de Lespinasse.
Nous sortons de l'écluse de Fenouillet, lorsque le soleil se lève. N'oubliez pas, nous sommes en hiver.
		A l'heure de la mise en route, le givre recouvre le rouf et les bouées. Une belle journée se prépare.
Première écluse du canal de Garonne. Plus d'éclusier... Nous devons tourner la perche nous-même et l'écluse n'est pas prête, un service au minima... Il y a tant de chose à faire avant le chômage dans 6 jours ? Date limite pour arriver à Castets-en-Dorthe.

Les Ponts Jumeaux : Une entrée sur le canal du Midi, une sur le canal de Brienne et une autre sur le canal de Garonne. Nous prendrons celle-là après avoir discuté avec, Louis MIQUEL, un marinier, amoureux de son canal.

L'écluse du Bearnais est notre dernière écluse du canal du Midi. Personne pour nous saluer, depuis leur tour de contrôle, ils restent dissimulés.
		L'écluse s'ouvre, personne n'a quitté le bateau... Le voyage continue dans la joie et la bonne humeur.
Vous souhaitez rejoindre vos amis sur le canal, vous séparer d'eux ? Rien de plus simple, de l'écluse de Bayard à la gare de Matabiau, il n'y a qu'une rue...
		Le canal vient d'ouvrir, le matériel à V.N.F. est encore bien à l'abri et pourtant que le canal est sale dans Toulouse. Ce n'est pas de la faute à VNF mais l'incorrection des gens qui le polluent.
Soyons fous ! Grâce au pont canal des Herbettes, nous enjambons l'autoroute, c'est toujours agréable de planer au-dessus de la civilisation.
		Un petit clin d'oeil à Sylvianne, la capitaine du Port-Sud peut-être en RTT, ce jour...




Nous avons sélectionné pour vous ce petit florilège de bateaux, amarrés le long du canal du midi, dans Toulouse.

A l'écluse de Vic, Jacques, notre éclusier des deux derniers jours, nous souhaite une bonne descente. A l'unanimité, nous le nommons meilleur éclusier de notre voyage. Pour lire le panneau, un clic.


Un objet non identifié, à contourner ! Finalement, c'est simplement une voiture au fond du canal, son propriétaire a oublié de serrer le frein.

		Le brouillard ne se lève qu'à l'entrée de Toulouse, ce qui n'empêche pas les joggers et les pêcheurs d'être au bord du canal et de nous saluer.
Au réveil, un coup d'oeil dehors. C'est vraiment brumeux, nous n'avons pas le choix, alors en route.
		Nous sommes en amont de l'écluse de Montgiscard. Jacky nous envoie ce message : Vous avez sacrément bien marché. Venant de lui, nous en sommes fiers.
Cap sur la rive droite, pour passer sous notre dernier pont de la journée : Le pont de Bazièrge. Mais pourquoi donc, la majorité des ponts ne sont pas perpendiculaires au canal ?
		A l'écluse de Négra, cette chapelle servait aux passagers et équipages des barques de poste. Maintenant, la porte d'à côté abrite la base de Locaboat.
L'éclusier, Jacques, nous prévient : A la sortie de l'écluse de Laval, ce pont est le petit frère de celui de Carcassonne, attention à votre tête !
		Un affichage nous interpelle : "Parcours Cyclable du Canal du Midi". Agrandissez, en un clic !
Tiens, tiens ce bateau nous rappelle une ville située, non loin de Castets-en-Dorthe. Des amis à toi, Nanie ?
		En amont de l'écluse de Gardouch, on en voit de toutes les couleurs ! On aime ou on n'aime pas !
Toujours garder le cul du bateau au centre du canal et dans les virages à angle droit, c'est un peu sport. Nous repensons aux anciens mariniers qui faisaient ce canal, chapeau bas !
		Attention de ne pas faire "cap-à-terre" sous prétexte d'une branche coincée dans le gouvernail. L'Hers n'est pas navigable !
La civilisation nous rattrape. Au loin, sûrement d'agréables villages, mais non loin de nous, l'autoroute et sa circulation.
		Notre éclusier nous quitte, nous sommes à l'écluse Océan. Nous rentrons, maintenant, dans la subdivision de Haute Garonne et nous sommes avalants.
Nous sommes au seuil de Naurouze. L'eau s'écoule vers la Méditerranée ou l'Océan. Regardez en un clic, on vous le dit.
		Il est trop tôt pour savourer un cassoulet, en terrasse. Pourtant il était bon. Tu t'en souviens Henri ? Nous emmenions Lumi de Marmande à Briare
Devant nous, la dernière écluse montante, l'écluse de Méditerranée. Le ciel est clément, peut-être une journée sans ciré ! Merci à Monsieur l'éclusier qui nous a ramené le pain commandé la veille.
		Il est huit heures trente neuf lorsque l'Astrolabe, sous une lumière rasante, sort de l'écluse. Une nouvelle journée commence.
Après les poignées du pont canal... Un escalier, en aval de l'écluse de Laurens, rejoint le canal par une porte ! A quoi servaient-ils ?
		Le soleil revient en fin de journée, nous offrant une lumière merveilleuse, propice aux photos et à la relaxation.
Encore une journée de navigation que nous achevons au pied de l'échelle d'écluses de Laurens, autrefois là il y avait des écuries. Un clic pour voir encore l'abreuvoir.
		En levant les yeux, nous admirons les branches des platanes s'entremêlant, dessinant une étrange chevelure.
Les lumières sont splendides et même si le ciel parfois s'épanche, la navigation est super agréable. Pourquoi si peu de plaisanciers en cette saison ?
		Nous n'irons pas nous mettre au vert, derrière l'île, si agréable, qu'une plaisancière connaît aussi, ni déguster un cassoulet, il faut avancer, malgré ce ciel très menaçant.
Nous rattrapons une chute de 9.42 mètres, grâce à la quadruple écluse de Saint Rock, nous ouvrant les portes de Castelnaudary.
		Aujourd'hui pas de soleil ! Qu'a cela ne tienne, tout l'équipage adopte une tenue couleur du temps.
Autre galère ! Il est 12:20 heures, l'éclusier nous fait sortir d'une écluse et nous indique un ponton pour attendre durant l'heure de déjeuner. Hélas sans eau nous restons posés au milieu du bief. C'est là que des amis choisissent de nous rejoindre... Nous mettons le bachot à l'eau.
		Aujourd'hui les portes d'écluse ont décidé de nous retarder. Plusieurs fois une porte refuse de se refermer, une autre fois, comme ici, c'est une vantelle qu'il faudra fermer à la manivelle.
A l'écluse de La Peyruque, nous voulons commander des cafés. Hélas il faudra revenir. A cette saison, les propriétaires ne sont plus là.
		Nous franchissons l'aqueduc de Mezuran et constatons qu'en cas de crue l'eau ne s'écoulera pas d'une manière optimiste. Le préventif, c'est quoi au juste ?
Avec la coupe des platanes, on découvre "des trésors" ! Quelques vieilles carcasses feraient peut-être le bonheur de collectionneurs. Et si on les mettait sur E-Bay ?
		Ce sera notre premier coup de Gueule contre le chef de base Nicol's de Brame et V.N.F qui laisse faire! C'est la fin de la journée, nous remercions toutes les équipes V.N.F. qui nous ont accompagnées : Un service sur mesure.
A la base Nicol's de Bram tout semble permis, y compris stationner des bateaux dans le chenal de navigation. Dis Monsieur V.N.F. vous laissez faire ?
		Nous apercevons un magnifique et sûrement unique bateau en bois de cette classe, mais peu de plaisanciers ne souhaiteraient l'entretenir.
On sait partager la barre, même s'il n'y a qu'un permis à bord. Mais c'est juste pour la photo, bien sûr !
		Aux écluses le Lalandes et de Herminis, Valérie se retourne et du fond du coeur s'exclame : On dirait Versailles !
L'équipage, en vacances sur le canal du Midi, pense aux pauvres vacanciers obligés de faire la queue aux remontées mécaniques. A vous de sélectionner ceux qui seront les plus reposés ?
		L'armateur est à la barre, Valérie appelle au secours. Point de couteau qui coupe alors on emploie les grands moyens pour régaler l'équipage.
Le pilote engage le nez de sa péniche sous le pont le plus bas du canal, tout se passe bien, à une exception les portes refusent de s'ouvrir. V.N.F est en action et saura trouver le sésame.
		En rentrant à Carcassonne, une vision me revient à l'esprit, lorsque Valérie était venue me chercher à la gare. Une bâche était tendue entre les deux rives. Qu'en est-il aujourd'hui ? Un clic pour vous en rendre compte vous même !
Pour laver le pont rien de plus facile ! Adieu le seau et le mob ! On cale le nez du bateau sous les portes et en une bassinée vos plats-bords sont rincés.
		Les portes de Fresquel simples sont ouvertes. Celles de Fresquel doubles sont en attente, nous nous élevons de 8.19 mètres.

		Les paysages sont splendides, le canal suit les courbes de niveau, mais avec une péniche de trente mètres, certains virages sont vraiment serrés. Ne pas oublier d'envoyer les chevaux pour faire tourner le cul.
Après l'abattage des platanes, il faut replanter des arbres,mais il ne faudra pas non plus oublier les poteaux électriques
		A la sortie de l'écluse L'évêque, nous engrangeons sur notre quatre-vingt cinquième cale-en-bourg. Pour les découvrir, un clic sur le bateau "Lôdelà"
Il est 17 heures 15, nous avons poussé jusqu'au pied de l'écluse de Villedubert. Demain, nous serons à pied d'oeuvre pour 8 heures 30.
		Les écluses font trente mètres et l'Astrolabe les remplit bien, à elle toute seule.
Une figurine ouvre les vantelles, cela pulse. Allons animons-la, en un clic.
		Tout de suite en arrivant on reconnait l'écluse d'Aiguille. L'éléphant barrit de joie de revoir un bateau. Cerise sur le gâteau, c'est Joël Barthe, le sculpteur qui nous écluse.
C'est toujours un régal pour les yeux lorsqu'on longe l'épanchoir d'Argentdouble.
		Notre premier pont, le pont de Jouarres. Cela doit passer, surtout démarquisé.
Le vent souffle à plus de 110 kilomètres / heure, il faut tenir les bonnets et faire attention aux branches...
		Le jour se lève, le canal sort du chômage, il est temps de partir. Il est 8 heures du matin, nous devrions être à la première écluse pour 8 heures 30.
La capitainerie du port de Homps fait la trêve des confiseurs, le capitaine de Castets-en-Dorthe ne pourra pas vendre son port, ce n'est que partie remise.
		Un petit tour du propriétaire : Une première fois sur les plats-bords ensuite autour du bateau, pour le sentir et le respirer.
Nous sommes le jour de Noël, en 2013. Bienvenue à bord !
		Les propriétaires de l'Astrolabe sont à bord. Ils attendent, sous un soleil printanier, le lamaneur, qui les accompagnera jusqu'à Castets-en-Dorthe.

Magnifique photos ! Voyage émouvant ! Merci Monsieur le reporter. A.B

Bonjour à tous et Merci pour les nouvelles. C'est sympa de nous faire participer au voyage, bonne route et a bientot pour la suite du voyage M & Y

Bonne année à vous Tous au milieu des champs !!!!
Je connais ça, enfant je ne comprenais pas que le Père Noël arrive à nous trouver en pleine campagne. Merci j’ai lu que vous avez fait état de notre rencontre aux Ponts-Jumeaux.
Nota : je suis fils de marinier mais pas marinier…les anciens auront vite fait de vous le rappeler !!!!!
Louis MIQUEL

C'est ce qui s'appelle arriver en "beauté" . Messieurs et Mesdames les plaisanciers , je pense que la preuve est faite que le canal de Garonne vaut bien le détour ! Un gros merci Bruno !

Bravo !!! pour cet excellent reportage cela nous fait voyager !!! Belles prises de photos !!

Des liens :